Jean-Baptiste Trogneux a refusé une protection rapprochée, la surveillance de sa chocolaterie renforcée

Jean-Baptiste Trogneux a refusé une protection rapprochée, la surveillance de sa chocolaterie renforcée

La police a reçu pour consigne de patrouiller plus fréquemment devant la boutique où s'est déroulée l'agression du petit-neveu de Brigitte Macron lundi soir.

Trois jours après l'agression dont il a été victime devant sa chocolaterie d'Amiens, Jean-Baptiste Trogneux, petit-neveu de Brigitte Macron, s'est vu proposer une protection rapprochée fournie par le SDLP, le Service de la protection. Comme l'a appris BFMTV de source policière, le commerçant de 30 ans a refusé cette protection.

Surveillance accrue

Les policiers qui patrouillent en ville ont reçu la consigne de faire preuve d'encore plus de vigilance et de passer régulièrement devant la boutique. Il n'y a en revanche pas de dispositif policier stationné devant la chocolaterie.

Cette surveillance accrue a été décidée après l'agression de lundi, mais intervient dans un climat plus large de peur qui touche la boutique depuis plusieurs mois.

Crottes de chien dans le courrier, enfumages dans un magasin, tags dans d'autres, vitrines fracassées, menaces de mort... La famille fait l'objet de très nombreuses agressions et appelle à faire cesser l'amalgame entre "un membre de la famille et la famille toute entière".

Article original publié sur BFMTV.com

VIDÉO - Agression du petit-neveu de Brigitte Macron: "Aucun symbole ne mérite un tel déferlement de haine" estime l'avocat de Jean-Baptiste Trogneux