"J'attends mon OQTF..." : Rachida Dati s'amuse de son exclusion, un patron des LR la menace
Au micro de RTL, Rachida Dati a ironisé sur son exclusion des Républicains, consécutive à son entrée dans le gouvernement d'Emmanuel Macron. Une provocation qui a été loin d'être du goût d'Olivier Marleix, patron des députés LR à l'Assemblée nationale...
Par la voix d'Alexis Kohler, secrétaire général de l'Elysée, Gabriel Attal a dévoilé ses ministres le jeudi 11 janvier 2024. A la surprise générale, il a débauché, avec Emmanuel Macron, Rachida Dati des Républicains pour le ministère de la Culture.
"La politique, ce n'est pas la Star Academy !"
L'arrivée de l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy à la place de Rima Abdul-Malak a été loin d'être sans conséquence. Dans la foulée de sa nomination, elle a été exclue des LR par Eric Ciotti. "Elle a quitté notre famille politique. Ça nous a heurtés, j'ai trouvé ce choix incohérent avec le maintien dans notre famille politique. On ne peut pas être dehors et dedans (...) Pour moi, la politique, ce n'est pas la Star Academy ! Ce n'est pas : 'On rentre, on sort. On peut épouser toutes les thèses, toutes les convictions...", s'est-il justifié au 20 heures de TF1.
Rachida Dati a été l'invitée de RTL Matin le mercredi 17 janvier sur RTL. Au cours d'une chronique où elle n'a pas supporté une remarque de Philippe Caverivière, elle s'est amusée de son exclusion des Républicains. "Je suis toujours aux LR ! Je lui ai dit (à Eric Ciotti) que j'attends mon OQTF (obligation de quitter le territoire français, ndlr) des LR...", a ironisé celle qui a eu un vif accrochage avec Patrick Cohen dans C à vous sur France 5.
Reste que sa (petite) provocation n'a pas été du goût du parti de droite. Le patron des...
À lire aussi
"Ce n'est plus une amie" : Cyril Hanouna règle ses comptes avec Raquel Garrido, dont la fille est accusée de propos antisémites
Tout le monde se trompe sur Kylian Mbappé : cet insupportable détail qui agace la star du PSG
Complément d'enquête sur Jordan Bardella : Pascal Praud accuse France 2 d'avoir "choisi son camp"