J’ai joué au DLC d’Elden Ring et je suis mort 50 fois en 3h
Un après-midi pluvieux (bien trop pour un mois de mai). Un ancien couvent reconverti en tiers lieu et trois heures devant nous pour découvrir un maximum de choses de Shadow of the Erdtree, la première extension d’Elden Ring (et la seule). En ce qui me concerne, l’expérience a pris des allures d’épreuve mentale à force de m’acharner sur le deuxième boss (le premier a été vite plié, étrangement). C’est finalement à la dernière seconde qu’il a poussé son ultime souffle, après des dizaines et des dizaines d’essais frustrants.
Je dois avouer qu’il m’a été difficile de contenir ma joie — et ma fierté — alors que je semblais bien parti pour échouer, encore et encore. J’ai exulté comme si j’avais accueilli la meilleure nouvelle de ma vie. Là est la force d’Elden Ring et, par ricochet, de Shadow of the Erdtree : faire ressortir des émotions comme aucun autre jeu. Elles poussent à se surpasser, à faire preuve de résilience, à expérimenter d’autres approches. Jusqu’aux applaudissements de toute une salle rangée derrière soi, à l’affût d’un exploit qui, peut-être, n’arrivera pas.
Des ennemis encore plus coriaces // Source : Bandai Namco
Préparez-vous bien pour l’extension d’Elden Ring
Faut-il posséder Elden Ring ?
Shadow of the Erdtree était une extension d’
Crédits photos de l'image de une : Elden Ring: Shadow of the Erdtree // Source : Bandai Namco