"J’ai failli gâcher le premier jour de tournage" : Josh Brolin se souvient de ses difficultés à jouer dans Les Goonies

En ce moment à Paris pour faire la promotion du film Dune, le comédien Josh Brolin était présent dans le programme de Canal+ En Aparté diffusé ce mardi 27 février et il en a profité pour revenir sur son parcours. Il a notamment usé de ce moment privilégié avec Nathalie Lévy pour évoquer l’un de ses films culte à savoir Les Goonies réalisé par Richard Donner en 1985.

"J’ai un attachement particulier, car je pensais que tous les films étaient tournés comme ça. J’ai eu énormément de chance. J’ai passé 6 auditions. On m’a demandé de venir 6 fois. Quand j’ai eu le rôle, j’avais jamais été face à une caméra. Je venais de quitter le nord de la Californie, je dormais sur le canapé de mon père… Ma vie semblait toute tracée et j’ai voulu la changer. Je crois que j’avais déjà passé 300 auditions, peut-être 350. Et j’ai fini par avoir ce rôle. Je n’avais absolument rien fait quand j’y suis allé. Dans le sens où je n’avais aucune expérience. J’ai failli gâcher le premier jour de tournage, car j’étais nerveux et je n’arrivais pas à arrêter de rire, donc c’était problématique." s’est-il souvenu.

À lire également

"On m’a forcé à collaborer avec lui" : Josh Brolin évoque sa relation artistique avec cette personnalité influente du milieu de la musique

Considéré comme un film culte par toute une génération, Les Goonies a pendant très longtemps été accolé à la peau de l’acteur tout comme le personnage d’Elvis avec Austin Butler. "Je suis allé au restaurant pour mon anniversaire et Denis Villeneuve et Tanya Lapointe sont venus. (…) Ils parlaient d’Elvis avec Austin Butler, qui leur dit qu’il en a marre, il est prêt à passer à autre chose. Et je leur ai dit que moi aussi, j’ai connu ce sentiment, mais pendant 20 ans, avec Les Goonies. Ça a changé grâce à ce film (No country for old men, ndlr). Ça a vraiment été une étape majeure dans ma carrière. J’ai fait Les Goonies dont j’étais très fier, mais je ne voulais plus en entendre parler après 20 ans, puis cet autre film profond, puissant et apprécie du public que j’ai pu caser dans la liste. Ce n’était plus que Les Goonies, il y avait aussi No Country.&qu...

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi