"Quand j'étais au sol, deux policiers sont arrivés et m'ont mis chacun un coup de matraque sur la tête. Aujourd'hui, j'ai 18 agrafes dans le crâne" : malgré les craintes de violences policières, les manifestants ne comptent pas arrêter la mobilisation

Si les manifestants interrogés à Paris ce 28 mars se disent préoccupés par les violences policières, ils ne comptent pas stopper leur mobilisation contre la réforme des retraites.