Yahoo Actualités Aux Invictus Games de Düsseldorf, le prince Harry retrouve le sourire (même sans Meghan)
Il n’aurait raté cette soirée pour rien au monde. Plus d’une fois, il l’a répété : les Invictus Games sont « l’une de ses plus grandes fiertés. » Il en a eu l’idée il y a presque quinze ans, à son retour d’Afghanistan où il avait combattu.
Là-bas, il avait vu les pires horreurs, comme il n’aurait jamais pu en imaginer. Notamment, des soldats gravement blessés. Alors, en 2014, à Londres, il a lancé la première édition de ces jeux - presque olympiques -, réservés aux vétérans, aux accidentés et aux personnes handicapées de l’armée.
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Depuis, l’événement a pris de l’ampleur et a fait le tour de la planète : Orlando en 2016, Toronto en 2017, Sydney en 2018, La Haye en 2022. Si son fracassant départ de la famille royale, en 2020, lui a fait perdre l’ensemble de ses patronages, Harry a pu conserver celui des Invictus Games, sa création. Il s’y accroche comme à une bouée de sauvetage, lui qui ne cesse de dériver depuis qu’il a tout abandonné.
Alors, oui, pour rien au monde, Harry n’aurait raté la cérémonie d’ouverture de cette sixième édition. Il est revenu tout spécialement de la Californie dont il ne s’échappe que rarement.
Rendre hommage à Elizabeth II
Jeudi soir, il a fait un crochet par l’Angleterre, pour assister au gala annuel des WellChild Awards – un autre engagement qui lui tient à cœur – puis pour rendre hommage à sa grand-mère, Elizabeth II, décédée il y a tout juste un an.
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