INTERVIEW. Benjamin Castaldi “Je peux me regarder dans la glace : je n'ai jamais vendu mon âme !”
Interview publiée dans le numéro 0655 CLOSER - Bungalow 21* raconte la liaison d'Yves Montand, votre grand-père “adoptif”, avec Marilyn Monroe, et le trauma provoqué chez votre grand-mère, Simone Signoret. Pourquoi avoir choisi de raconter cette histoire ? BENJAMIN CASTALDI - Après avoir lu la correspondance entre mes grands-parents, j'ai vraiment réalisé à quel point cette liaison avait eu de profondes conséquences, surtout pour ma grand-mère. C'est à partir de ce moment-là qu'elle s'est transformée physiquement. Elle a voulu rester digne, mais c'était une posture, par péché d'orgueil. J'ai ressenti le besoin d'expliquer ce qu'il s'était passé avant et après “l'affaire Marilyn”. Comment a été accueilli votre projet ? Le fait qu'Eric-Emmanuel Schmitt ait accepté d'écrire la pièce a très certainement dû en étonner certains, ceux qui aiment mettre les gens dans des cases. Mais ça ne me dérange pas. Dans ma carrière, j'ai toujours aimé surprendre. Ne craigniez-vous pas que l'on vous reproche une forme d'impudeur ? Non, car dans ses interviews de l'époque, Montand lui-même ne bottait pas en touche quand on lui parlait de Marilyn. Il tenait des propos très durs envers elle, très machistes. Votre mère, Catherine Allégret (fille de Simone Signoret et Yves Allégret), viendra-t-elle voir votre pièce ? C'est un sujet très sensible pour elle. Elle avait seulement 14 ans quand l'affaire a éclaté. Elle a lu la pièce, mais j'ignore si elle (...)
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