Ces initiatives faciles à mettre en place qui peuvent changer la donne

Les ports constituent l’ultime frontière entre nos villes et la mer. D’où l’importance de ne pas laisser la pollution s’en échapper. Pour ce faire, la start-up Iadys a conçu en 2018 Jellyfishbot, un petit robot de 70 centimètres de côté et d’une autonomie de six à huit heures, doté de filets capables d’amasser jusqu’à 80 litres de déchets ou de collecter 30 à 40 litres d’hydrocarbures. Radiocommandé, il fonctionne de manière autonome grâce à un GPS qui lui indique la zone à nettoyer, et à un lidar (sorte de radar à infrarouge) qui lui permet de repérer les obstacles.

« Nous projetons de faire travailler plusieurs robots ensemble, afin qu’ils communiquent entre eux pour optimiser le ramassage », précise Nicolas Carlési, président et fondateur du projet. Des scientifiques l’utilisent aussi pour prélever des échantillons et étudier la pollution. Des ports de plaisance (Saint-Tropez, Cherbourg, Ajaccio…), de commerce (Le Havre) et des chantiers navals (Saint-Nazaire…) ont d’ores et déjà, adopté ce robot nettoyeur.

Une traversée des bonnes nouvelles. Tel est le principe de l’expédition Phoenix, cofondée par la start-up Ténaka, qui œuvre à la restauration des écosystèmes marins, et la Fondation de la mer. Elle débutera en février 2022. À bord d’un voilier à énergie solaire, l’équipe, constituée notamment d’un biologiste et d’un vidéaste, parcourra l’océan de Brest à San Diego (Californie), à la découverte de projets de régénération qui portent leurs fruits. « L’idée est de documenter (...)

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