"Des icônes nationales": Sarah Ferguson évoque l'importance des corgis de la reine dont elle a la garde

La duchesse d'York, qui a la garde des deux derniers corgis de la reine Elizabeth, évoque ces "icônes nationales", dans une interview au magazine People.

C'est elle qui a hérité des chiens chéris de la reine Elizabeth. Sarah Ferguson, l'ex-belle-fille de la souveraine, s'occupe de Muick et Sandy, les deux derniers corgis de la souveraine, depuis sa disparition en septembre 2022.

La duchesse d'York évoque les deux chiens dans une interview au magazine People, publié mercredi.

"Ce sont des icônes nationales, alors chaque fois qu'ils courent après un écureuil, je panique", plaisante-t-elle.

"Mais ce sont de vrais bonheurs, et je pense toujours que lorsqu'ils aboient pour rien, et qu'il n'y a aucun écureuil en vue, c'est parce que la reine passe par là."

Déménagement

Les corgis vont peut-être bientôt déménager, puisque le roi Charles aurait demandé au prince Andrew, qui vit toujours avec son ex-femme Sarah Ferguson dans la luxueuse propriété de Royal Lodge à Windsor, d'emménager à Frogmore Cottage.

Andrew est tombé en disgrâce après des accusations d'agressions sexuelles et son amitié avec le défunt financier américain Jeffrey Epstein, condamné pour des abus sexuels sur mineures.

Ce logement de Frogmore Cottage, d'une taille bien plus modeste, avec seulement cinq chambres, était jusqu'ici dévolu à Harry et Meghan. Mais Charles a retiré au couple parti aux États-Unis l'usage de leur résidence britannique.

Les corgis ont joué un rôle important dans la vie de la reine Elizabeth, qui s'est éteinte le 8 septembre dernier à l'âge de 96 ans. Tombée en amour dès l'âge de 7 ans devant ces bestioles courtes sur pattes, elle s'en est toujours entourée. Elle en a possédé plus d'une trentaine au cours de sa vie et a même créé un croisement avec un teckel, le "dorgi".

Article original publié sur BFMTV.com

VIDÉO - VOICI - Funérailles d'Elizabeth II : les corgis de la reine, Muick et Sandy, étaient présents pour un dernier au revoir à leur maitresse