HPI (TF1) - Thomas Scimeca : "C’est difficile d’arriver dans une série qui a commencé depuis un moment"

Fred, que vous incarnez, est difficile à cerner…

Thomas Scimeca : C’est un personnage double. Il paraît très bienveillant et sympathique en début de saison, mais on s’aperçoit très vite qu’il manipule les autres afin de s’attirer les grâces de la commissaire Hazan (Marie Denarnaud).

Peut-on dire de lui que c’est le pendant masculin de Morgane (Audrey Fleurot) ?

Tout à fait. Comme elle, il est cool, un peu détaché, et a le même recul. Morgane est très contente d’avoir Fred auprès d’elle, pour en faire un allié. C’est vraiment un duo de copains.

Pour autant, il n’y a aucun jeu de séduction entre eux…

Pas du tout. Il y en a déjà suffisamment ! Même si elle le trouve charmant, ces deux-là se reconnaissent comme des amis, mais pas comme de potentiels amants.

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Comment avez-vous été accueilli au sein de l’équipe HPI, que l’on sait très soudée ?

C’est difficile d’arriver dans une série qui a commencé depuis un moment. Je n’avais jamais fait cette expérience. Il fallait pourtant être comme un poisson dans l’eau très rapidement, parce qu’on avait peu de temps. Il y avait donc une petite pression. Mais je connaissais déjà très bien Marie Denarnaud, un peu Audrey Fleurot aussi, et Bruno Sanchez, de par son travail. Il y a une ambiance très conviviale, même au sein de l’équipe technique. Ils m’ont fait comprendre que tout allait bien se passer, et je me suis détendu assez rapidement.

Les téléspectateurs vous ont découvert il y a deux ans dans Le Flambeau. Le rôle d’Yvan le complotiste vous colle-t-il encore à la peau ?

Oui, un peu beaucoup ! (Rires) Principalement auprès des 15-25 ans. Que ce soit dans un bar, un restaurant ou dans un avion, c’est la même phrase qui revient : « Comme par hasard ! » Je le vis bien, c’est mignon. C’est probablement plus facile pour moi que pour Laura Felpin, qui doit s’en prendre plein la tronche avec son personnage d’Annick… (Rires)

À lire éga...

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