Il se fait amputer d’un tiers de son pénis à cause d’un cancer

Il pensait à une légère irritation, il s’agissait en réalité d’un cancer. Un homme de 39 ans a dû se faire amputer d’un tiers de son pénis après avoir reçu ce terrible diagnostic.

Sa petite bosse sur le pénis ne laissait pas présager le pire… et pourtant. Un homme de 39 ans, prénommé Joe Merrall, s’est fait amputer d’un tiers de son sexe à cause d’un cancer, une terrible histoire relayée par le Sun.

Tout commence lorsqu’il s’aperçoit d’une grosseur de la taille d’un pois sur le côté de son pénis. De prime abord, il pense à une légère irritation, provoquée probablement par le frottement de son sexe avec son pantalon. Mais interloqué par cette anomalie, il décide malgré tout de se rendre chez son médecin généraliste qui se veut rassurant. Le professionnel de santé estime qu’il pourrait s’agir d’une infection sexuellement transmissible. Mais ce diagnostic ne semble pas être le bon. Les douleurs s’intensifient, notamment lorsqu’il urine.

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"Mieux vaut prévenir que guérir"

Son état empire les semaines suivantes. La masse commence à recouvrir la tête de son pénis et même à se propager jusqu'à la tige. Finalement, quelques jours avant Noël, le 23 décembre, le trentenaire apprend qu’il est atteint d’un cancer du pénis et qu’il doit s’en faire amputer une partie pour survivre. Les chirurgiens lui ont donc retiré la tumeur, avec une marge de 5mm, le mois dernier au North Shore Hospital d'Auckland, en Nouvelle-Zélande. Le patient doit désormais subir un scanner pour voir si le cancer s'est propagé.

Actuellement en convalescence, Joe Merrall ne peut plus assurer son travail d’entraîneur personnel. Face à cette situation, il a lancé une collecte de fonds pour le soutenir financièrement pendant cette période compliquée et gère, en parallèle, Move 4 Mental Health, un programme pour aider les gens à améliorer leur santé mentale grâce au pouvoir de l’exercice physique.

Depuis son calvaire, Joe a déclaré qu'il se sentait "moins homme" mais a tout de même précisé qu’il pourrait à nouveau avoir des relations sexuelles. Comme il l’a expliqué, il espère que son témoignage poussera des personnes, dans le doute, à consulter leur médecin généraliste pour se faire examiner. "Mieux vaut prévenir que guérir", a-t-il conclu.

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