Sur Hollande, Rebsamen dénonce des «mots sortis de leur contexte»

Dire qu’il a quitté le ministère de l’Emploi de gaîté de cœur cet été serait un mensonge. Mais François Rebsamen, redevenu maire de Dijon en vertu du principe du non-cumul des mandats, refuse qu’on instrumentalise son amertume à l’égard de l’exécutif en général et de François Hollande en particulier. Oui, «Rebs» a bien dit que le Président était comme un «galet, lisse à l’extérieur mais dur à l’intérieur». Mais, explique-t-il, ces propos, rapportés dans le livre l’Hyperviolence en politique de Renaud Dély et Henri Vernet (éditions Calmann-Lévy) qui vient de sortir en librairie, datent de 2013. Il s’agissait alors pour Rebsamen de défendre Hollande, traité de Flamby ou de Culbuto de toutes parts. «C’est du réchauffé, les mots ont été sortis de leur contexte», plaide l’ex-ministre.

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