Haute-Vienne : il noie son chien et se fait prendre à cause d'un détail qu'il avait oublié

Le 23 mars dernier, un pêcheur faisait une macabre découverte dans un étang privé de la commune de Peyrilhac, en Haute-Vienne, comme l'explique Le Parisien. Le corps sans vie d'une chienne de race shih tzu flottait à la surface, les pattes et le cou attachés à un parpaing par une corde. Horrifié par la scène, le pêcheur a immédiatement alerté les gendarmes. L'enquête menée par la brigade de gendarmerie de Saint-Yrie-la-Perche a rapidement permis d'identifier le propriétaire de l'animal. Grâce à la puce électronique implantée sous la peau de la chienne, les gendarmes ont retrouvé son domicile et l'ont placée en garde à vue. Face aux preuves accablantes, l'homme a fini par avouer son crime sans pour autant expliquer son geste. L'autopsie a par ailleurs confirmé que la chienne était encore vivante lorsqu'il a été jeté dans l'eau. L'homme sera convoqué devant le tribunal correctionnel en septembre prochain.

Une peine exemplaire demandée

La Fondation Brigitte Bardot, qui s'est constituée partie civile dans cette affaire, a demandé une peine exemplaire à l'encontre du mis en cause. "Nous souhaitons une peine à la hauteur de cet acte barbare", a déclaré le service juridique de la fondation. En plus des poursuites pour maltraitance animale, l'homme devra également répondre de détention illégale d'armes et de munitions. Lors de la perquisition de son domicile, les gendarmes ont découvert plusieurs armes à feu et munitions, qu'il n'était pas (...)

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