Guy Georges : "Un bon prix", le récit à peine croyable du photographe qui a travaillé sans le savoir avec le tueur

C’est l’un des tueurs en série français les plus connus de l’histoire. De 1991 à 1997, Guy Georges, aussi surnommé le tueur de l’Est parisien, a violé et assassiné sept jeunes femmes âgées de 19 à 33 ans. Des crimes d’une extrême férocité qu’il a commis dans l’impunité totale, menant un quotidien sans histoire sans que personne ne se doute une seconde de qui il était vraiment. Photographe pour le magazine Paris Match, Yann Morvan fait partie de ceux qui n’ont rien vu venir. Dans le documentaire Serial killer, autopsie d'une fascination, le photojournaliste raconte avoir collaboré avec Guy Georges quelques années avant son arrestation, loin de s’imaginer à qui il avait vraiment affaire. En 1994, Morvan tourne un reportage dans un squat parisien. Guy Georges, squatteur notoire dans la capitale, est le gardien des lieux. "Il deale du shit et quand il y a un problème, parce qu’il y a toujours des problèmes avec les gens qui rentrent dans les squats pour voler, etc. Jo est là pour maintenir l’ordre on va dire", explique le photographe dans l’émission de France 5.

Une collaboration de 4 mois avec le tueur en série

Jour après jour, Morvan fait connaissance de celui que tous surnomment "Jo" et finit par lui demander son aide dans la réalisation de son reportage. "Moi, je travaille avec de très lourds groupes électrogènes pour faire mes photos et j’ai besoin d’un assistant. Je lui dis ‘Est-ce que tu veux bosser avec moi pour (...)

Lire la suite sur Closer

Disparition d'Amandine Estrabaud : "Délirant", ces deux mots qui ont mené à un nouveau procès de son meurtrier présumé
Kate Middleton hospitalisée : "Même dans les derniers instants", pourquoi autant de suspicion autour de la version officielle ?
Couples : ces tests incontournables à faire avec votre crush pour connaître l'avenir de votre relation
"C’est très très blanc" : Hugo Manos balance un détail très intime sur le corps de Laurent Ruquier
“Le genre de trucs qui arrive aux petites filles” : ce souvenir glaçant qui a mené Marina Foïs chez le psychanalyste