Guerre Israël-Hamas, mer Rouge et Donald Trump… La semaine en photos

Des journalistes manifestent pour la liberté de la presse devant l’hôpital Kuwait, à Rafah dans la bande de Gaza, le 15 janvier 2024. . PHOTO ABED ZAGOUT/ANADOLU/AFP
Des journalistes manifestent pour la liberté de la presse devant l’hôpital Kuwait, à Rafah dans la bande de Gaza, le 15 janvier 2024. . PHOTO ABED ZAGOUT/ANADOLU/AFP

Israël continue ses opérations meurtrières à Gaza alors que de nombreuses voix demandent la relance d’une solution à deux États. En parallèle, l’État hébreu est poursuivi pour génocide devant la Cour internationale de justice. “Pour beaucoup d’Israéliens, commente le New York Times, [cette procédure] est l’aboutissement d’un effort de plusieurs décennies visant à faire d’Israël un paria.”

Des soldats yéménites devant un portrait du leader houthiste Abdulmalik Al-Huthi, à Sanaa, la capitale du Yémen, le 18 janvier 2024.. PHOTO MOHAMMED HUWAIS/AFP
Des soldats yéménites devant un portrait du leader houthiste Abdulmalik Al-Huthi, à Sanaa, la capitale du Yémen, le 18 janvier 2024.. PHOTO MOHAMMED HUWAIS/AFP
Des soldats yéménites devant un portrait du leader houthiste Abdulmalik Al-Huthi, à Sanaa, la capitale du Yémen, le 18 janvier 2024.. PHOTO MOHAMMED HUWAIS/AFP
Des soldats yéménites devant un portrait du leader houthiste Abdulmalik Al-Huthi, à Sanaa, la capitale du Yémen, le 18 janvier 2024.. PHOTO MOHAMMED HUWAIS/AFP

La semaine dernière, les États-Unis ont mené des frappes contre les houthistes, afin de les empêcher de tirer sur les voies maritimes internationales. En réponse, un porte-parole des rebelles yéménites a indiqué, le 17 janvier, que le groupe avait tiré un missile en direction d’un navire commercial américain dans le golfe d’Aden, promettant de “cibler toutes les sources de menaces dans la mer Rouge”, rapporte Middle East Eye.

Des partisans de Donald Trump pour l’élection présidentielle américaine, à Atkinson (New Hampshire), le 16 janvier 2024. . PHOTO ELIZABETH FRANTZ/REUTERS
Des partisans de Donald Trump pour l’élection présidentielle américaine, à Atkinson (New Hampshire), le 16 janvier 2024. . PHOTO ELIZABETH FRANTZ/REUTERS
Des partisans de Donald Trump pour l’élection présidentielle américaine, à Atkinson (New Hampshire), le 16 janvier 2024. . PHOTO ELIZABETH FRANTZ/REUTERS
Des partisans de Donald Trump pour l’élection présidentielle américaine, à Atkinson (New Hampshire), le 16 janvier 2024. . PHOTO ELIZABETH FRANTZ/REUTERS

Après sa large victoire aux primaires républicaines dans l’Iowa le 15 janvier, Donald Trump était à New York le 17 pour un procès pour diffamation contre l’ancienne journaliste E. Jean Carroll, qui l’accuse d’une agression sexuelle commise il y a trente ans. L’ancien président américain s’est fait remarquer par son comportement qui a agacé le juge, rapporte USA Today. Trump est en tête des sondages pour la primaire du New Hampshire, le 24 janvier.

Des membres d’une milice patrouillent à Guayaquil (Équateur), le 15 janvier 2024. Le pays connaît en ce moment une vague de violence. . PHOTO IVAN ALVARADO/REUTERS
Des membres d’une milice patrouillent à Guayaquil (Équateur), le 15 janvier 2024. Le pays connaît en ce moment une vague de violence. . PHOTO IVAN ALVARADO/REUTERS
Des membres d’une milice patrouillent à Guayaquil (Équateur), le 15 janvier 2024. Le pays connaît en ce moment une vague de violence. . PHOTO IVAN ALVARADO/REUTERS
Des membres d’une milice patrouillent à Guayaquil (Équateur), le 15 janvier 2024. Le pays connaît en ce moment une vague de violence. . PHOTO IVAN ALVARADO/REUTERS

“Une folie meurtrière s’est emparée de l’Équateur”, déplore El País América. Le pays est en “état de guerre” contre les gangs de narcotrafic, a déclaré le président Daniel Noboa, et les soldats ont été déployés en réponse à la terreur qui a saisi le pays les 8 et 9 janvier. Dernière victime en date : le procureur César Suárez, qui enquêtait sur l’irruption de membres d’un gang dans des studios de télévision, a été assassiné le 17 janvier.

Un homme amène ses iguanes pour qu’ils soient bénis par un diacre à la cathédrale San Bernardino de Siena, à Xochimilco (à l’est de Mexico), pour la fête de San Antonio Abad. . Photo RAQUEL CUNHA/REUTERS
Un homme amène ses iguanes pour qu’ils soient bénis par un diacre à la cathédrale San Bernardino de Siena, à Xochimilco (à l’est de Mexico), pour la fête de San Antonio Abad. . Photo RAQUEL CUNHA/REUTERS
Un homme amène ses iguanes pour qu’ils soient bénis par un diacre à la cathédrale San Bernardino de Siena, à Xochimilco (à l’est de Mexico), pour la fête de San Antonio Abad. . Photo RAQUEL CUNHA/REUTERS
Un homme amène ses iguanes pour qu’ils soient bénis par un diacre à la cathédrale San Bernardino de Siena, à Xochimilco (à l’est de Mexico), pour la fête de San Antonio Abad. . Photo RAQUEL CUNHA/REUTERS

Le 17 janvier, des milliers de Mexicains se sont rassemblés à la cathédrale San Bernardino de Siena, à Xochimilco, pour la fête de San Antonio Abad, le saint patron des animaux de compagnie. Chiens, moutons et même iguanes ont été bénis par un diacre. Une tradition qui date du IIIe siècle, précise le site argentin Infobae, et “trouve son origine dans les prières des frères franciscains qui leur demandaient protection et bonne santé”.—

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