"Grande tension avant la nomination de mon prédécesseur": Mélenchon ironise avant le remaniement

Le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon lors d'un meeting, Marseille, 12 mai 2022 - Pascal GUYOT © 2019 AFP
Le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon lors d'un meeting, Marseille, 12 mai 2022 - Pascal GUYOT © 2019 AFP

"Sera-t-elle droite ou bien de droite?". Alors que Jean Castex a remis sa démission à Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon rappelle ses ambitions politiques. Le leader de la Nouvelle union populaire écologiste et sociale ironise sur la "grande tension avant la nomination de (son) prédécesseur".

"Sera-t-elle de droite ou bien de droite? Personne ne veut le job", assure le candidat malheureux à l'élection présidentielle, qualifiant le poste de "CDD de mission d'intérim".

Jean-Luc Mélenchon, arrivé troisième au premier tour de l'élection présidentielle, a fait savoir au cours de l'entre-deux-tours qu'il souhaitait être "élu" Premier ministre par les Français au cours des élections législatives de juin.

Le chef de file des Insoumis a conclu début mai un accord avec Europe Écologie Les Verts, le Parti socialiste et le Parti communiste français pour cette échéance électorale, une alliance politique entre les quatre partis qui ont investi leurs candidats sous l'étiquette Nouvelle union populaire écologiste et sociale.

Article original publié sur BFMTV.com