Grabuge chez les Orléans : le comte de Paris défié par son cousin le duc d’Anjou

Le comte de Paris lors des funérailles de Jacques Chirac.  - Credit:PIERRE VILLARD/SIPA / SIPA / PIERRE VILLARD/SIPA
Le comte de Paris lors des funérailles de Jacques Chirac. - Credit:PIERRE VILLARD/SIPA / SIPA / PIERRE VILLARD/SIPA

On connaît les frictions au sein des Windsor, mais ça barde aussi chez les Orléans, notre famille royale française… Le prince Charles-Philippe, duc d'Anjou, 50 ans et divorcé, a mis le feu aux poudres en se remariant civilement en septembre avec Naomi-Valeska Kern, une roturière monégasque veuve du couturier allemand Otto Kern. Les noces se sont déroulées discrètement le 9 septembre dernier dans la mairie d'Orléans, avec quelques proches et amis, mais sans la présence du chef de la famille de France et sa famille.

Et pour cause : son cousin germain, Jean d'Orléans, 58 ans, comte de Paris et prétendant au trône de France, l'avait mis en garde : pas de nouveau mariage sans son consentement, comme il l'avait officiellement précisé par un communiqué avant les noces cet été. « Les mariages des princes de la Maison de France sont soumis à la double condition d'obtenir l'approbation du chef de la Maison Royale et d'être contractés dans les règles du droit canonique de l'Église catholique. » Deux conditions que le duc rebelle, fils du comte d'Évreux, a manifestement ignorées…

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Le point de friction concerne le premier mariage de Charles-Philippe en 2008 avec Diana Alvares Pereira de Melos, duchesse de Cadaval, héritière d'une grande famille aristocratique du Portugal. Pour Jean de France, les règles de l'Égl [...] Lire la suite