Grégory Villemin : "officiellement on ne peut pas le dire"... un enquêteur lâche une bombe sur l’affaire, le mystère résolu

C’était il y a presque quarante ans. Le 16 octobre 1984, le corps du petit Grégory Villemin, quatre ans, est retrouvé pied et mains liés dans la Vologne, une rivière des Vosges. Innommable, ce crime marque le début d’une saga judiciaire sans pareille. En tout, plus de cent témoins sont interrogés, plusieurs centaines de personnes sont soumises à des tests ADN et des milliers de courriers anonymes sont analysés. Mais en dépit de tous ces efforts, le mystère du meurtre du petit Grégory reste entier… À moins que ce ne soit pas le cas. Dans une interview accordée à Ciné-Télé-Revue, en kiosque ce jeudi 14 mars, à l’occasion de la publication du livre Police technique et scientifique : Le Choc du futur, qu’il a coécrit avec Jacques Pradel, François Daoust, directeur du CREOGN (Centre de Recherche de l'Ecole des Officiers de la Gendarmerie Nationale), affirme détenir la clé du mystère depuis des années.

"On sait ce qu’il s’est passé"

"En off, on sait ce qu’il s’est passé. Officiellement, on ne peut pas le dire", certifie-t-il, expliquant ne pas pouvoir inculper le coupable en raison d’une "erreur de procédure". : "On ne peut pas en faire état, au risque sinon d’être poursuivi pour diffamation. Mais il y avait tout." Selon l’ex- directeur de l’Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale, l’enquête sur le meurtre du petit Grégory a porté ses fruits. Quoi qu’en dise la version officielle.

Une des protagonistes (...)

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