«God Save The Foot», joyau de la Couronne

Les joueurs de Tottenham Mido et Michael Dawson s'expliquent avec Fredrik Ljungberg, d'Arsenal, lors d'un match à White Hart Lane, en 2005.

Semi-pro ou amateur, un nombre conséquent de sites de qualité spécialisés dans le sport essaiment sur Internet. «Libé» arpente ce microcosme et raconte chaque semaine l'un de ses membres. Ce week-end, un site qui traite de foot anglais, des paillettes de la Premier League aux tréfonds des divisions inférieures.

Onzième épisode de Fanzines Zone qui arpente le microcosme des médias de qualité, semi-pros ou amateurs, spécialisés dans le sport, qui essaiment sur Internet.

La nostalgie est intrinsèque à l’esprit du fan de foot. Une nostalgie qui renvoie la plupart du temps, non pas à un foot idéalisé, une époque utopique, mais plutôt à la période où ce sport devient une passion, souvent à l’adolescence, et un peu après. Le ballon outre-Manche des années 90, comme sa version italienne dans la même décennie, est souvent magnifié, appelé au secours d’un foot en perdition à cause de l’argent roi. C’était déjà le cas il y a vingt ans, mais le business passe rarement le tamis des rêves.

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«En Angleterre, une cassure provient de la création de la Premier League en 1992. On est passé d’une vision traditionnelle à un foot business, illustré par la création des nouveaux stades par exemple», explique Benjamin, corédacteur en chef de God Save The Foot. Son acolyte, Ilhan : «La Premier League n’est plus vraiment "anglaise". Avant, un match se déroulait entre deux clubs qui étaient deux entités ancrées localement. Maintenant, on a l’impression qu’on choisit son club comme dans une pochette-surprise. Mais il faut vivre avec son temps et, ces dernières années, les techniciens étrangers ont fait énormément progresser le championnat sur la tactique.» Sorte d’Eurostar de l’analyse, God Save The Foot tente de montrer les différentes facettes d’un foot anglais qui conserve ses refuges, notamment dans les divisions inférieures. Dans un papier rédigé pour le retour de Tim Cahill à Millwall, on y raconte ce qui unit le joueur de 38 (...) Lire la suite sur Liberation.fr

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