Gironde : un braconnier interpellé après de perturbantes publications sur les réseaux sociaux

C'est une macabre découverte qui a conduit à l'arrestation d'un braconnier en Gironde, explique 20 minutes. En début de mois de mai, les gendarmes de Pineuilh ont interpellé un homme résidant à Saint-Avit-Saint-Nazaire. Le suspect, âgé d'une quarantaine d'années, est accusé d'avoir capturé illégalement plus de 400 hérissons. Cette arrestation a été rendue possible grâce à l'intervention de l'Office français de la biodiversité (OFB). Alerté par des signalements, l'organisme a enquêté sur les publications troublantes d'un individu sur les réseaux sociaux. Les photos montraient l'homme posant fièrement avec des dizaines de hérissons, certains encore vivants.

Le braconnier avait un mode opératoire cruel

L'enquête a révélé que le braconnier présumé utilisait des chiens dressés pour débusquer les hérissons. Il écumait ensuite la campagne la nuit, n'hésitant pas à s'introduire dans des jardins privés pour capturer les animaux. Selon les gendarmes, les hérissons capturés étaient ensuite destinés à la consommation, principalement auprès de membres de la communauté des gens du voyage. Le braconnier risque désormais de lourdes sanctions. Il encourt jusqu'à trois ans de prison et 150 000 euros d'amende. Des dommages et intérêts pourraient également lui être demandés. Ce braconnage ignoble a provoqué l'indignation des défenseurs de la faune et de la flore. Les hérissons jouent un rôle important dans l'écosystème en tant qu'insectivores. (...)

Lire la suite sur Closer

TÉMOIGNAGE. "Mon mari me fait subir un chantage pour que je couche avec lui"
Un kebab a ruiné sa vie : un homme dans un état lamentable plus d’un mois après avoir mangé le sandwich douteux
"Quelques petits mots d’oiseau…" : Christine Kelly s’attaque à Karim Rissouli et Mohamed Bouhafsi face à Cyril Hanouna
Un Advil puis le trou noir… Jamie Foxx lève le voile sur ce qui l’a mené à sa mystérieuse et longue hospitalisation
Meghan Markle : encore un scandale pour la femme du prince Harry, pour une fois ce n’est pas (vraiment) sa faute