Gaza, Canada, procès Trump : les informations de la nuit

Gaza : le Hamas dit “étudier” une contre-proposition de trêve israélienne. Le mouvement islamiste palestinien Hamas a annoncé samedi 27 avril “étudier” une contre-proposition israélienne en vue d’une trêve dans les combats à Gaza associée à la libération d’otages. La déclaration du Hamas ne fournit pas de détails sur le contenu de la réponse d’Israël, souligne Al-Jazeera. Celle-ci émane de Khalil Al-Hayya, chef adjoint du mouvement dans la bande de Gaza et chef du bureau des relations arabes et islamiques. La chaîne qatarie rappelle qu’il avait déclaré jeudi auprès d’Al-Jazeera Arabic à que le Hamas était sérieux au sujet de la libération des otages, mais qu’il n’accepterait qu’un cessez-le-feu permanent à Gaza et un arrêt complet de l’assaut d’Israël sur le territoire palestinien.

Une province canadienne revient sur la dépénalisation de petites quantités de drogues. La province canadienne de Colombie-Britannique est revenue vendredi sur sa politique de dépénalisation de petites quantités de certaines drogues, “modifiant radicalement (ce) programme pilote”, rapporte CBC. “La décision survient après des semaines d’histoires troublantes sur la consommation problématique de drogues de rue dans les hôpitaux, les parcs et les arrêts de bus”, note la chaîne. Dans un communiqué, le Premier ministre de la province, David Eby, a insisté sur le fait que son gouvernement est “bienveillant et compatissant à l’égard de ceux qui luttent contre la dépendance”, mais que la patience à l’égard du désordre avait des limites.

États-Unis : la première semaine de débats s’achève au procès Trump. La première semaine de débats au procès pénal de Donald Trump s’est achevée vendredi à New York. Les avocats de l’ancien président ont interrogé vendredi l’ancien éditeur du National Enquirer, un tabloïd à scandales, jetant le doute sur son explication des raisons pour lesquelles il a supprimé des articles salaces sur le candidat républicain à la présidentielle avant l’élection de 2016, relate le New York Times. “Le témoignage de M. Pecker était crucial pour le bureau du procureur de Manhattan, car les procureurs cherchent à démontrer que M. Trump faisait partie d’une conspiration de trois personnes visant à enterrer des informations négatives alors qu’il s’efforçait de gagner la présidence. ”

[...] Lire la suite sur Courrier international