"Le gars m'insulte avec une voix de cité de mec du 93" : Julien Cazarre revient sur le coup de pression de Cyril Hanouna (VIDEO)

C'était une soirée événement sur France 2. La chaîne du service public diffusait jeudi 30 novembre un Complément d'Enquête consacré à Cyril Hanouna. "Pour ce portrait, ça a été extrêmement compliqué de faire parler des gens face à la caméra. Les gens craignaient d'être découverts ou retrouvés. Avant de commencer mon travail, je savais que Cyril Hanouna était puissant. Mais à ce point ? Absolument pas. Moi-même, j'ai subi des coups de pression, des intimidations", a raconté à FranInfo la journaliste Virginie Vilar.

Le reportage est revenu sur une histoire qui avait fait couler beaucoup d'encre à l'époque. En 2016, Julien Cazarre, qui travaillait pour Canal+, avait révélé avoir refusé les avances de Cyril Hanouna pour devenir chroniqueur dans Touche pas à mon sport, émission que présentait Estelle Denis sur D8 : "On m'a proposé Touche pas à mon Sport, le copier-coller de Touche pas à mon poste sur D8. Cyril Hanouna m'a appelé, m'a dit qu'il aimait bien ce que je faisais, malheureusement, je ne peux pas en dire autant ! C'est pas du tout ma came", avait-il déclaré dans un entretien à France Football.

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Un entretien qui avait fait vriller Cyril Hanouna, lequel s'était alors empressé de contacter l'amuseur sportif pour l'insulter et le menacer. Julien Cazarre a témoigné jeudi soir dans Complément d'Enquête. "Je suis chez moi, je reçois un coup de téléphone, je voix Cyril Hanouna, je décroche. Et là, je crois que c'est une blague. Le gars m'insulte avec une voix de cité de mec du 93. Le Tony Montana du pauvre. Il me lance des insultes trash, des menaces genre 'T'es où, je vais te défoncer, je sais où t'habites, je sais qui t'es'. Je ne peux pas imaginer que ce mec qui danse 'Les Sardines' me menace violemment, physiquement à ce point".

Julien Cazarre a relaté avoir ensuite raccroché, ce qui n'a fait qu'augmenter le courroux de celui qui est surnommé "Baba". "Le mec me rappelle, il me dit : t'as cru que je rigolais, tu sais pas qui on est. ...

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