Gérard Miller accusé d’agressions sexuelles : le psychanalyste se défend

"J’ai la conviction de n’avoir jamais contraint personne." Au lendemain de la parution d’une enquête journalistique du magazine « Elle » dans lequel plusieurs femmes accusent Gérard Miller d’avoir tenté de les embrasser ou de les toucher lors de séances d’hypnose, le psychanalyste s’est défendu sur X (anciennement Twitter).

Dans cette longue lettre, Gérard Miller, ne dément pas avoir eu des relations avec ces femmes, mais conteste leurs accusations. « Si quelque chose leur a déplu lorsqu’elles étaient avec moi, je n’ai aucune hésitation à l’affirmer : rien de ce que j’ai perçu ne m’indiquait qu’elles voulaient mettre un terme à la situation, car sinon à l’instant même, j’y aurais mis un terme », assure-t-il.

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« Parfaitement conscient »

Il déclare également n’avoir jamais pratiqué l’hypnose à son cabinet ou à son domicile, mais toujours en public. Selon lui, ce qui advenait dans un cadre privé relevait de « tests élémentaires » et « celui ou celle qui acceptait de s’y livrer n’était absolument pas hypnotisé, il restait parfaitement conscient, en totale possession de ses moyens ».

« Avec toutes les femmes, j’ai la conviction de n’avoir contraint personne, prenant au pied de la lettre tout embarras, tout refus, et ce tout particulièrement quand je m’engageais sur le chemin de la séduction », soutient-il dans sa lettre.

Trois témoignages accablants

Trois femme...


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