La folle passion de Javier Milei pour ses chiens, « l’amour de sa vie », ses « enfants »

C’est une histoire passionnelle, dévorante et qui dépasse parfois l’entendement… Et cette histoire commence en 2004. Cette année-là, Javier Milei, jeune économiste argentin, adopte un petit Old English Mastiff, qu’il nomme Conan, clin d’œil au film « Conan le barbare » (1982). Rapidement, le chien devient « l’un de ses amis les plus proches, son confident, qui le soutient toujours ».

Et pour cause, d’après « La Nacion », ce chien est arrivé dans la vie de Javier Milei à un moment où l’homme rencontrait de graves difficultés financières et cumulait les petits boulots pour s’en sortir. « C’était une époque où il n’avait qu’un seul costume usé à rayures sombres et pesait 120 kilos à cause d’un choix de vie : il mangeait tout le temps des pizzas pour acheter une meilleure nourriture pour Conan », rapporte le média argentin.

Cinq petits clones pour 50 000 dollars

Alors, quand en 2017, le petit Mastiff, qui a littéralement été biberonné au champagne le reste de sa vie, décède dans ses bras, Javier Milei vit cette perte comme une véritable tragédie. L'« anarcho-capitaliste » perd « son véritable et plus grand amour ». Par chance, l’Argentin trouve alors sa consolation dans la science : pour la modique somme de 50 000 dollars, cinq clones de Conor voient le jour et viennent combler l’économiste de bonheur.


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