Et si la flemme était bonne pour la santé ?

Prendre son temps. Profiter de l'instant présent. Savoir dire non. Arrêter de courir après le bus. Ne pas avoir envie de faire ou de voir quelqu'un, juste pour chiller sur son canapé, en pleine conscience… Et alors ?

Avant de penser que cela pourrait relever de la pathologie, suivons les conclusions d'une étude de chercheurs américains du Missouri, publiée en avril 2013 dans l'American Journal of Physiology, et qui démontre que certaines personnes auraient une prédisposition génétique à la flemme ! Il a également été mis en lumière que cet état diminuait le stress, allégeait la charge mentale et serait même le secret de la longévité.

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Des scientifiques de l'université de Floride ont, quant à eux, mis en évidence que « les personnes dotées d'une intelligence supérieure à la moyenne seraient beaucoup plus fainéantes. Elles passent plus de temps à réfléchir qu'à être dans l'action ». Encore faut-il arriver à identifier les émotions, lorsque la motivation manque à l'appel. Mais cela est une autre histoire. Chaque chose en son temps !

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