Un film de science-fiction sans aucun effets spéciaux, ça existe ! Avec en bonus, un tout jeune Kevin Costner

Paramount Pictures
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La science-fiction n'est pas forcément synonyme de débauche d'effets spéciaux. En témoigne ce très bon film qui mérite la redécouverte : Le Dernier testament, sorti en 1983 aux Etats-Unis.

La famille Wetherly vit tranquillement dans une petite ville de banlieue californienne. En plein après-midi, la télévision interrompt ses programmes à la demande de la Maison-Blanche pour annoncer que la côte ouest des Etats-Unis a perdu contact avec la côté est. Un flash lumineux apparaît soudainement : une attaque nucléaire a eu lieu.

Plutôt que de prendre le parti de traiter du niveau politique de cette attaque ou de son aspect potentiellement spectaculaire, Le Dernier testament choisit de s'intéresser aux conséquences locales de cette attaque sur les habitants de la petite ville des Wetherly.

Pourquoi le voir ?

Les individualités sont bouleversées, et le sens du collectif au cœur des débats, et les radiations ont des effets qui vont creuser les tensions au sein de la communauté. En mère de famille, Jane Alexander (vue dans L'Insurgé de Martin Ritt) livre une excellente prestation en mère de famille tentant de garder le moral face à ses trois enfants.

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