Dans l'atelier de Fernando Botero

Une exposition totale. En novembre 1992, Paris avait offert un splendide écrin à l'œuvre de Fernando Botero : «la plus belle perspective du monde», les Champs-Elysées, pour ses sculptures, et le Grand Palais pour soixante de ses toiles… «Paris est la seconde patrie de tous les artistes», avait souligné dans Match le Colombien, installé dans la capitale française depuis 1973, et venu pour la première fois vingt ans plus tôt, pour étudier les œuvres de la Renaissance italienne présentées au Louvre. Inspiration majeure, avec l’art précolombien, pour Botero qui donnera d’ailleurs une «Mona Lisa à l'âge de douze ans» (1959) toute en rondeurs naïves.

Fernando Botero avait reçu Match, partenaire de l’exposition, dans deux de ses ateliers, à Paris et en Toscane, pour évoquer son œuvre avec notre journaliste Marie-France Saurat, et permettre au photographe Hubert Fanthomme de le saisir en pleine création...

Voici le reportage consacré à Fernando Botero, tel que publié dans Paris Match en 1992.

Découvrez Rétro Match, l'actualité à travers les archives de Match...

Paris Match n°2264, 15 octobre 1992

Colossal Botero

Interview Marie-France Saurat, photos Hubert Fanthomme 

Paris offre les Champs-Elysées au plus généreux et au plus optimiste des grands peintres et sculpteurs de notre temps

Image

«Dans son atelier de la rue du Dragon, à Paris, entouré par quelques-uns de ses nouveaux tableaux sur la corrida - thème de son exposition du G...
Lire la suite sur ParisMatch