"Fantasme sexuel", "immense agressivité" : comment l’ancienne ministre Agnès Buzyn a été harcelée pendant 4 ans

"J’étais vraiment pré-suicidaire." C’est avec ces mots poignants qu’Agnès Buzyn a décidé de prendre la parole. Alors que le #MeTooHôpital libère la parole de victimes d’agressions sexuelles et sexistes au sein du milieu hospitalier, M6 diffusait, ce dimanche 5 mai, un documentaire choc à ce propos. Un film intitulé Des blouses pas si blanches et que l’on doit à Marie Portolano - qui officie désormais sur l’antenne de Télématin. La journaliste y a recueilli une dizaine de témoignages plus révoltants et effrayants les uns que les autres.   Qu'elles soient médecins, pédiatres, infirmières ou étudiantes, elles ont toutes été victimes de collègues, camarades ou de leur hiérarchie. Et ce, même au plus haut niveau. Agnès Buzyn en a fait l’amère expérience. En 2003, alors âgée de 40 ans, elle obtenait le plus haut poste qu’un médecin puisse espérer. Celui de PU-PH, Professeur des Universités Praticien Hospitalier. "Ce jour-là, j’ai réalisé l’anomalie. J’ai compris qu’il y avait un dysfonctionnement grave", se remémore-t-elle.

Ce moment où les collègues d’Agnès Buzyn sont devenus "fous furieux"

En cause ? Parmi les 32 membres, elle était l’unique femme. Surtout, en obtenant ce titre de Professeure et malgré son travail acharné, Agnès Buzyn est devenue une cible. Sans cesse sexualisée. "Agnès Buzyn est venue me voir dans mon bureau pour me parler de sa candidature comme Professeure, c’est drôle, (...)

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