Eurovision 2024 : l'Italie frappe fort avec Angelina Mango et l'explosif "La noia"

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Crédits photo : BestimageComme un avant-goût de l'Eurovision. Créé en 1951 cinq ans avant le célèbre concours européen, le festival de la chanson italienne de Sanremo a passionné toute l'Italie du 6 au 10 février. Samedi, la grande finale de ce mythique événement remporté dans le passé par des pointures comme Toto Cutugno, Ricchi e Poveri, Eros Ramazzotti, Richard Cocciante, Il Volo ou le groupe rock Maneskin, a été suivie par 14.3 millions de téléspectateurs italiens sur la Rai 1, soit une part d’audience de 74.1% ! C'est dire l'impact culturel de cette grande messe musicale qui permet de désigner chaque année ou presque le futur représentant de l'Italie à l'Eurovision. En effet, 10 des 12 derniers candidats transalpins sont des vainqueurs de Sanremo, et l'édition 2024 du festival a permis de choisir l'artiste qui défendra les couleurs du drapeau vert-blanc-rouge à Malmö, en Suède, du 9 au 13 mai prochains. Non sans créer la polémique !

Le favori boudé par la presse


Durant les trois premières soirées de la compétition, c'est le rappeur napolitain Geolier, ultra populaire sur les réseaux sociaux et largement soutenu par sa région, qui a fait voler en éclats tous les compteurs avec son titre "I p' me, tu p' te". Lors de la finale, l'artiste a récolté 60% des voix du public appelé à voter ! Une écrasante majorité qui n'a pas suffi à le faire gagner. À Sanremo, les votes des téléspectateurs comptent pour seulement 33% du résultat final, le reste étant partagé entre le jury radio et la salle de presse... qui lui ont préféré Angelina Mango, jeune chanteuse de 22 ans qui participait pour la toute première fois au concours. Au cumulé, elle s'impos...

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