Européennes : Raphaël Glucksmann veut éviter le « duel Macron-extrême droite »

Ce dimanche 10 mars, c’était au tour de Raphaël Glucksmann de lancer sa campagne pour les élections européennes de juin prochain. Le candidat à la tête de la liste commune entre Place publique et le Parti socialiste, donné troisième dans les sondages à ce stade devant La France insoumise, s’est présenté comme le fer de lance de « la gauche sociale-démocrate », s’inscrivant ainsi dans l’opposition face à « la droite conservatrice ».

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Loin derrière le Rassemblement national et Renaissance dans les intentions de vote, Raphaël Glucksmann est convaincu que les Français « ne [sont] pas condamnés au duel Macron-extrême droite ». Au lendemain du meeting de Valérie Hayer, l’eurodéputé a également assuré que ces élections européennes étaient « sans doute les plus importantes de l'histoire ». Il a surtout tenu à mettre en garde sur le sujet de la guerre en Ukraine qui « ne se limite pas aux frontières », selon lui. « Ce sont nos démocraties qui sont les cibles », a-t-il argué.

« Votre comédie ne marche plus »

Le leader de la liste commune entre Place publique et le Parti socialiste a tenu à réagir aux nombreuses attaques de la majorité présidentielle envers le Rassemblement national lors du meeting de samedi. « Les communicants macronistes vont tout faire pour re-nationaliser le débat, tout faire pour, encore une fois, nous rejouer le match Macron-Le Pen, tout faire pour kidnapper à nouveau ...


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