Essai - Lotus Emira "First Edition" : au volant de la der' des thermiques

Essai - Lotus Emira "First Edition" : au volant de la der' des thermiques
LAURENT VILLARON/SPORT AUTO

Le temps est pluvieux sur l’ensemble de la France durant le début de cette semaine. » Les infos météo déversées par la radio de l’Emira donnent le ton.

C’est bien ma veine : j’ai deux jours pour profiter d’une longue escapade dans la région de Saint-Nazaire à bord d’une des Lotus les plus attendues depuis bien longtemps. Deux jours pour découvrir les secrets d’un châssis que l’on nous promet raffiné.

Deux jours pour vérifier ce fameux toucher de route maison qui rend les modèles de Hethel uniques… Et voilà qu’il pleut sans discontinuer ! Comble du comble, le Lotus Drivers Pack de notre monture comprend une suspension sport et des semi-slicks Michelin Pilot Sport Cup 2 aussi adaptés à ces conditions froides et humides qu’une paire d’escarpins pour courir un 100 m.

Au moins, ils ne risquent pas de s’user ! Et puis l’adhérence précaire n’empêche pas de confirmer ses velléités de grand tourisme. Un esprit disparu chez Lotus depuis belle lurette, même si l’Evora mise au rancart fin 2021 s’y est quelque peu aventurée.

Le grand tourisme, justement, commence par une capacité d’emport convenable. En l’absence du moindre logement disponible pour y glisser une brosse à dents à l’avant, la tâche s’annonce d’autant plus compliquée que l’unique coffre niché derrière le V6 transversal est du genre rikiki.

Laurent, qui a pourtant besoin d’un minimum de place pour caser son matériel photo, prend la chose avec philosophie : « T’inquiète, je suis champion de Tetris ! » Mission réussie, même si le salut vient de l’important espace dégagé derrière les sièges.

L’installation à bord demande toujours...Lire la suite sur Sport Auto