Entre Harry et Charles III, la réconciliation impossible

Il nous joue, encore une fois, le retour du fils prodigue. Excepté que lui n’a ni père, ni frère pour l’accueillir à bras ouverts et lui pardonner. Pauvre Harry qui ne doit plus reconnaître sa chère Angleterre. Celle qui, avant son exil aux États-Unis, le chérissait tant. Aujourd’hui, il semble être un étranger dans sa propre patrie. Et surtout dans sa propre famille. Jeudi 7 septembre, le duc de Sussex est de passage à Londres. Une nuit seulement. Il ne veut pas s’éterniser mais tient absolument à assister au gala annuel des WellChild Awards, association qui vient en aide aux enfants malades, dont il est le parrain depuis 2008.

Même si, en quittant la famille royale, il a dû renoncer à la plupart de ses patronages, jamais il n’aurait abandonné celui-ci. Harry ne raterait pour rien au monde cette soirée. Bien que l’an dernier, il eût dû annuler à la dernière minute sa venue, pour se rendre en Écosse au chevet d’Elizabeth II, mourante, mais était arrivé trop tard… À la tribune du Hurlingham Club de Londres, ce 7 septembre, il évoque pudiquement le souvenir de sa grand-mère : « Elle aurait été la première personne à insister pour que je me rende à la cérémonie au lieu d’aller à son chevet. Et c’est précisément la raison pour laquelle je sais que, un an après, elle nous regarde tous ce soir de là-haut, heureuse que nous continuions ensemble à mettre en lumière une communauté aussi incroyable. » Le lendemain, date de ce triste anniversaire, Harry est aperçu à la chapelle Sain...


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