Entre Charles III et Kate Middleton, les secrets d’un lien indéfectible

Il est le souverain en exercice, elle est la reine de demain, quand William montera sur le trône… Entre les deux, une tendre affection, même si leurs racines et leurs parcours sont à l'opposé. Lui, descendant des plus grandes familles titrées d'Europe, éduqué dans les palais et les usages surannés ; elle, simple roturière, fille d'une hôtesse de l'air, arrière-petite-fille d'une lignée de mineurs du nord de l'Angleterre qui trimaient dans les galeries de charbon.

Et pourtant, la princesse Kate et Charles III ont su nouer des rapports étroits de respect et de tendresse, la bru ayant gagné ses galons en s'intégrant parfaitement au sein des Windsor, suscitant l'admiration de Charles, qui connaît trop bien les travers de sa famille dysfonctionnelle et pétrie de rivalités.

Charles admiratif de Kate

« Kate est la fille qu'il aurait toujours voulu avoir », explique Bertrand Meyer-Stabley, auteur de la biographie Charles III, le mal-aimé (éd. City). « Ils partagent une connivence intellectuelle, il leur arrive de parler italien entre eux, Kate avait appris la langue quand elle était partie six mois pour Florence avant d'intégrer l'université de St Andrews. Il a appris le violoncelle, elle pratique le piano, Charles l'invite parfois dans sa loge à Covent Garden, pour entendre des opéras et commenter l'art lyrique. »

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