Les Enfoirés 2020 (TF1) - Zazie : "Quand Jean-Jacques Goldman était là, on se reposait un peu sur lui"
Nouvelle édition, nouvelles émotions ?
Christophe Willem : On y va toujours un peu plus sur la pointe des pieds lorsque ça se passe à Paris. L’excitation de nos retrouvailles n’est pas la même quand il n’y a pas l’esprit "colo". Lorsque c’est ailleurs, au-delà de la cause qui, évidemment, est le principal, on est toujours ensemble à tout partager. Avec ce métier, malgré tout, on est pas mal isolé. Grâce aux Enfoirés, on se rend compte que l’on a des collègues, en fait. On se reconnaît, on peut se lâcher, être soi-même, sans s’excuser d’être là.
Zazie : C’est la force des Enfoirés, tous ces individus qui se rassemblent, se retrouvent autour d’une cause. Ça n’existe dans aucun autre pays. Nouvelles émotions, oui, car à Paris, tous les soirs, nous rentrons chez nous, nous reprenons nos vies, avec les enfants, pour certains.
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