Emmanuel Macron : ce socialiste contrarié qui nous promet une diète soviétique

Hier au volant du SUV diesel que mon amie Anne Hidalgo m'avait prêté, je traversais Paris à grande vitesse, pour rejoindre la Grande Mosquée, tout à côté de l'église de Saint-Nicolas-du-Chardonnet, afin de prier en hébreu pour le rétablissement du bâillon chez les proviseurs mécréants. « Si vous plé, donner argent, c'est pour déficit. » C'est à un feu rouge du côté de Bercy que j'ai reconnu notre ministre des Finances, qui faisait la manche grossièrement déguisé en vieille femme avec un fichu, mais dont les mocassins à gland ne laissaient guère de surprise quant à son identité de genre. C'est donc avec la miséricorde du contribuable attendri que j'ai abondamment aspergé Bruno Le Maire de liquide lave-glace, avant de démarrer en trombe pour rejoindre le péage de Saint-Arnoult et verser mon obole à l'effort national.

Le barista a cramé la caisse de la buvette

Chez les Mailhot, le dimanche de Pâques, tradition oblige, nous dégustons en famille l'agneau pascal. Mais cette année, le mouton tondu sera devant l'assiette. La Semaine sainte se clôture par un renoncement à nos racines chrétiennes, le carême à peine terminé, la fille aînée de l'Église va devoir réentamer un jeûne. Car, oh, surprise, nous sommes fauchés ! Nono l'a dit « l'open bar » est terminé. Le barista a cramé la caisse de la buvette et la mise en bière est pour bientôt. Après nous avoir rincé comme des étudiants en fin de partiel. Manu, ce socialiste contrarié, nous promet une diète soviétique : ti [...] Lire la suite