Emile retrouvé mort : pourquoi les recherches peuvent-elles durer "des semaines"

Un spectaculaire rebondissement a relancé l'enquête sur la disparition d'Émile. Ce samedi 30 mars 2024, une randonneuse a ramené des ossements à la gendarmerie. Une première analyse ADN effectuée dans la soirée a permis d'identifier les restes du garçonnet qui s'était évanoui dans la nature l'été dernier près du domicile de ses grands-parents dans le paisible hameau du Haut-Vernet.

La macabre découverte a été faite dans une "zone relativement plate qui n'est pas vallonnée", décrit Stéphane Chevrier, président de la société de chasse du Vernet, au micro de BFMTV. Les enquêteurs cherchent désormais le "point zéro", c'est-à-dire "là où il y a le maximum d'ossements, l'endroit où est tombé ou où a été déposé l'enfant", comme l'explique le Général François Daoust, ex-directeur de l'institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN).

Une nouvelle longue enquête sur la disparition d'Émile

L'enquête nécessite également de retrouver le reste des ossements du petit garçon. S'annonce donc un long et laborieux travail d'investigation. Interrogée par nos confrères, une source proche de l'enquête déclare aujourd'hui que "la zone de recherche peut rester figée des semaines". "Le dispositif de recherche a été renforcé ce matin et la zone de recherche, très escarpée, est bouclée par les gendarmes", précisent les journalistes.

Médecin légiste et directeur de l'Institut de médecine légale de l'Université de Liège, (...)

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