Eau, biodiversité, … quelles sont les missions de la « police de l’environnement » en France ?

Non, les actes constitutifs d'infractions ne sont pas seulement à destination des personnes ou de leurs biens. Notre planète, notre bien commun, peut également être la victime de ces délits. En ce sens, il était normal de se constituer une véritable police pour permettre de veiller au respect de notre environnement.

Ainsi, c'est en 2020 que les polices historiques de la pêche et de la chasse, depuis devenues les polices de l’eau et de la nature se sont réunies au sein d’un seul établissement : l'Office français de la biodiversité (OFB ). Il "résulte de la fusion de l’Agence française pour la biodiversité et de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage" nous explique France Inter.

Comme dans la police standard, on remarque que les policiers sont plutôt des hommes, avec seulement 24% de femmes. Ils sont au nombre de 4 600 sur l'ensemble du territoire français à surveiller l'éventuelle commission d'infractions relatives à l'environnement.

Ça c'est pour la théorie. Malheureusement, comme souvent, la réalité est beaucoup moins reluisante. Malgré une belle idée sur le papier, l'application n'est pas encore à la hauteur : les sanctions sont ainsi assez peu appliquées ou alors de manière modeste, ceci, à cause des moyens beaucoup trop faibles investis par l'État dans cette police.

"Contrairement aux polices de droit commun, les polices environnementales ne travaillent pas au maintien d’un ordre préétabli mais contribuent à faire advenir un ordre environnemental qui n’existe (...)

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