Les Dupont de Ligonnès, une « famille en or » !

Régis Mailhot est en tournée et au Théâtre des Deux Ânes avec son nouveau spectacle Les Nouveaux Ridicules.  - Credit:
Régis Mailhot est en tournée et au Théâtre des Deux Ânes avec son nouveau spectacle Les Nouveaux Ridicules. - Credit:

Cette semaine, Emmanuel Macron, notre nounou nationale, a décidé de nous aider à mourir. Merci Manu ! Rien à voir avec son désir contrarié de nous envoyer au front dégeler des congères au Donbass. Rien à voir non plus avec une énième carotte pécuniaire décidée à la va-vite par Manu la cigale : « Après Prime Rénov' et le chèque essence, Manu, vous propose la prime à la pompe… funèbre ! Pour l'achat d'un cercueil, les poignées sont offertes. »

« L'aide à mourir », c'est le nouveau doudou sociétal d'un président à bout de souffle. Paraît-il qu'il serait mal à l'aise avec les mots « euthanasie », et surtout « suicide assisté », qui, dit-on, serait le surnom que certains cadres mal attentionnés de Renaissance auraient donné à Véronique Hayer, la tête de liste du parti présidentiel pour les européennes.

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Attention, cette aide ne sera pas accordée de facto, il faudra remplir quelques conditions sine qua non. La première, que le pronostic vital du patient soit engagé à court ou moyen terme. Bercy a demandé à pouvoir bénéficier en priorité de cette mesure d'accompagnement.

« L'aide à mourir », on dirait le sous-titre du rapport de la Cour des comptes publié cette semaine. Car, surprise, ce n'est pas 10 milliards d'économie que la France devra trouver cette année mais bien 50. Le pronostic vital serait-il déjà trop engagé  ?

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