Disparition de Lina, 15 ans, dans le Bas-Rhin : sa mère vit "l'enfer", ces commentaires horribles qui tirent les larmes

Cela fait plus de quatre mois que Fanny Groll "vit l'enfer". Depuis le 23 septembre dernier, elle n'a plus de nouvelles de sa fille, Lina. Elle se rendait alors à la gare de Saint-Blaise-La-Roche pour rejoindre son petit ami, Tao, à Strasbourg. Mais avant d'y arriver et de monter dans le train, elle s'est évaporée. Depuis, les enquêteurs ont ratissé ce coin du Bas-Rhin, mené plusieurs auditions et ouvert une enquête. En vain. Malgré les jours qui passent, sa maman ne veut pas perdre espoir. Mais dans l'attente d'avoir des nouvelles de sa fille, elle s'est totalement coupée du monde. Lors d'une conférence de presse organisée ce vendredi 2 février avec son avocat, elle est revenue sur son quotidien depuis que Lina a disparu. "Soutenue par sa famille", Fanny Groll n'a pas repris son activité professionnelle.

"L'espoir, c'est ce qui fait que je me lève tous les matins", a continué la maman de Lina. Depuis la disparition de sa fille, Fanny Groll s'est coupée de l'extérieur et n'arrive plus à sortir de chez elle. Elle évite également de se rendre sur les réseaux sociaux, où certains commentaires sont ignobles. Quelques internautes critiquent notamment la vie et l'apparence de l'adolescente, sans la connaître. Pour sa maman, ces messages sont très compliqués à vivre. "Je me suis complètement coupée" des actualités sur la disparition de Lina. Certains commentaires "sont d'une violence extrême (…) Ça m'atteint dans mon cœur de maman, dans mes tripes, (...)

Lire la suite sur Closer

"J’ai eu une grosse grippe" : Lénie (Star Academy 2023) sera-t-elle présente pour la finale ? Elle répond
Mark Van Nierop : "Huit dents d’un coup", les détails glaçants donnés par les victimes du dentiste de l’horreur
Ces aliments à bannir d'urgence si vous ne voulez pas aggraver votre stress
"Un amour hyper pur" : nouvelles révélations sur l’histoire entre Lucie Bernardoni et Grégory Lemarchal
Harry et Meghan : les Sussex persona non grata de la Couronne, ce choix qui sonne comme un coup de semonce