Déni d’orgasme : et si ne pas jouir était le meilleur moyen de prendre du plaisir ?

L’être humain aime l’interdit. Et c’est sûrement pour cette raison que le déni d’orgasme se trouve en troisième position sur le podium des déclencheurs d’orgasmes les plus efficaces. Cette pratique sexuelle, aussi appelée « tease and denial », est largement pratiquée par les amateurs du BDSM (Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme). Selon une étude réalisée par Dèmonia sur l’orgasme, 52,8% des membres de cette communauté affirment l’utiliser. La raison ? Le fait de se retenir de jouir permet de décupler le plaisir. Pas besoin de le nier, il n’y a rien de plus excitant que l’interdit !

Un sentiment de frustration sexuel important

Si ce jeu sexuel est particulièrement associé au BDSM, il peut très bien être pratiqué dans une sexualité plus douce. Le principe est de pousser son partenaire à la limite de l’extase, plusieurs fois pendant le rapport, sans le laisser jouir. L’excitation est donc décuplée par ce sentiment de frustration important qu’il ou elle ressent à ce moment-là. Et lorsque l’orgasme final est enfin autorisé, le plaisir est dix fois plus intense… Durant le rapport, le déni d’orgasme libère à plusieurs reprises des hormones et des principes chimiques qui permettent de faire durer le plaisir, encore et encore. Cette pratique sexuelle peut aussi être un tremplin pour les personnes qui souhaitent devenir plus endurantes et contrôler au mieux leur éjaculation afin d’avoir (...)

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