CRITIQUE. Civil War : road-trip dystopique dans une Amérique à feu et à sang

Il était très attendu et pour cause, Civil War est le dernier film en date du scénariste et réalisateur Alex Garland, à qui on doit déjà les films 28 jours plus tard, Ex-Machina ou encore Annihilation. Passé maître dans l’écriture de films coup de poing, Alex Garland propose, avec Civil War, une piste de réflexion qui se transforme petit à petit en avertissement pour la grande puissance que sont les Etats-Unis. Le postulat de départ est simple : dans un futur relativement proche, deux états – la Californie et le Texas – se sont soulevés contre le pouvoir en place pour prendre leur indépendance, provoquant une véritable guerre civile au sein du pays. Cet acte de sécession divise les Etats-Unis en deux camps : le gouvernement fédéral incarné par le président (Nick Offerman), et les Forces de l’Ouest. Civil War plonge directement dans ce conflit violent grâce au personnage de Lee – brillamment interprétée par Kirsten Dunst – et son équipe, sans s’encombrer de précisions sur ce qui a propulsé le pays dans cette situation cauchemardesque.

Civil War questionne autant qu’il provoque

Avec un décor dystopique qui vise à transposer des situations de guerre connues par beaucoup de pays dans les rues américaines, Alex Garland préfère s’attarder sur le comment plutôt que sur le pourquoi. Et c’est via la photographe de guerre Lee, mais aussi son apprentie Jessie (Cailee Spaeny), son acolyte Joel (Wagner Moura) et son mentor Sammy (Stephen (...)

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