Covid-19 : les vaccins sont « sans danger » pour les femmes enceintes, selon cette vaste étude

A medical staff member prepares a syringe with a dose of the Pfizer-BioNTech (Comirnaty) Covid-19 vaccine, in the Lyon Gerland vaccination center, on November 27, 2021. (Photo by JEFF PACHOUD / AFP) (Photo by JEFF PACHOUD/AFP via Getty Images)
JEFF PACHOUD via Getty Images A medical staff member prepares a syringe with a dose of the Pfizer-BioNTech (Comirnaty) Covid-19 vaccine, in the Lyon Gerland vaccination center, on November 27, 2021. (Photo by JEFF PACHOUD / AFP) (Photo by JEFF PACHOUD/AFP via Getty Images)

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A medical staff member prepares a syringe with a dose of the Pfizer-BioNTech (Comirnaty) Covid-19 vaccine, in the Lyon Gerland vaccination center, on November 27, 2021. (Photo by JEFF PACHOUD / AFP) (Photo by JEFF PACHOUD/AFP via Getty Images)

CORONAVIRUS - Alors que le second rappel contre le Covid-19 a été élargi aux femmes enceintes fin juillet, une large étude confirme que les vaccins à ARN messager ne représentent pas de risque durant la grossesse. Les résultats des travaux menés par le Canadian National Vaccine Safety (CANVAS) sur 200 000 femmes enceintes vaccinées ont été publiés, ce jeudi 11 août dans la revue scientifique The Lancet.

Selon les résultats de l’étude, une semaine après avoir été vaccinées avec Pfizer ou Moderna, les femmes enceintes n’ont pas fait plus de fausse couche ou accouché d’un enfant mort-né que les femmes enceintes non-vaccinées. Elles n’ont pas fait plus d’arrêt maladie, vu surgir un nouveau problème de santé ou constaté l’aggravation d’un problème médical ultérieur à la vaccination.

Suffisant pour convaincre les femmes enceintes récalcitrantes de se faire vacciner ? Au début de l’année, 30 % des femmes enceintes n’étaient pas vaccinées contre le Covid en France.

« Les femmes enceintes ayant contracté la Covid-19 ont plus de risques que la population générale de développer une forme grave de la maladie, d’être admises en réanimation et de nécessiter une assistance respiratoire », indique l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) sur son site.

Selon l’ANSM, « elles ont quatre fois plus de risques d’être admises en soins intensifs que les femmes du même âge qui ne sont pas enceintes », d’autant plus que « ce risque augmente au fil de la grossesse ».

À voir également sur Le HuffPost : Covid : pourquoi la 4e dose pour les plus de 60 ans n’a rien de superflu

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