Ce constructeur va proposer des batteries moins chères en 2026

Où en est Toyota dans l’électrique ? Longtemps sceptique vis-à-vis de cette technologie, lui préférant l’hybride, le constructeur japonais a finalement dû s’aligner sur le marché et se lancer à son tour dans la production de modèles exclusivement à batteries. La marque a lancé son tout premier modèle l’année dernière : le crossover BbZ4X, un équivalent électrique du RAV4. Depuis, il y a eu en Chine le lancement d’une berline compacte rivale de la Tesla Model 3 : la bZ3. 16 concepts de modèles avaient par ailleurs été présentés, envoyant un message fort : malgré le retard, Toyota se donne le moyen de ses ambitions dans l’électrique. Objectif évoqué par le patron du groupe, Koji Sato, vendre 1,5 million d’électriques d’ici 2026…

Des batteries solides pour 2026

Mais comment y parvenir en revenant d’aussi loin ? Déjà avec un plan produit ambitieux : la marque compte faire ce qu’elle sait faire de mieux, à savoir conquérir chaque segment de marché et chaque catégorie de modèles. Citadine, compacte, berline, crossover, SUV, 4X4, utilitaire, pick-up, sportive… À cela et c’est la condition essentielle de son succès : développer des batteries à bas coûts, pour proposer des modèles électriques plus accessibles qu’à l’heure actuelle. Pour y parvenir, Toyota travaille sur le déploiement de batteries solides à partir de 2026. Par rapport aux batteries lithium-ion actuellement répandues, elles seraient 20% moins chères à produire, et n’offriraient pas les mêmes performances.

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