Confinement. Les vidéoconférences se multiplient, les excuses pour y échapper aussi
Problème de wifi, un repas à préparer, un appel de boulot… Comment éviter les vidéoconférences à répétition quand on est confiné chez soi ? Le magazine The Atlantic nous donne quelques idées.
“Désolé, il faut que je rentre nourrir le chien”, “c’était sympa, mais j’ai une autre fête…” Le monde d’avant ne manquait pas d’excuses possibles pour esquiver une sortie ou mettre fin à une conversation, écrit The Atlantic.
Mais depuis le confinement, il nous faut redoubler de créativité pour trouver une raison valable de raccrocher. Même si ces rendez-vous virtuels nous permettent de conserver un semblant de lien social, les coups de téléphone, réunions par Zoom et apéros virtuels à répétition peuvent être usants.
À lire aussi: Télétravail. La plateforme de visioconférence Zoom, à utiliser avec modération
“Entre le travail, les enfants et les corvées ménagères, nombre des personnes actuellement coincées chez elles ont largement assez d’excuses pour ne pas socialiser. Mais beaucoup d’autres n’en ont pas, et voudraient prétendre que si”, remarque The Atlantic. Heureusement, la pandémie n’a pas encore eu raison de notre inventivité et les “menteurs expérimentés” ont vite su s’adapter à ces nouvelles conditions.
Des méthodes plus ou moins élaborées
Heather Jovanovic, une étudiante de 25 ans, confie au magazine américain ses meilleures stratégies d’esquive :
Le repas est un moment important maintenant, alors c’est genre : ‘Il faut que je prépare le déjeuner.’ J’ai aussi constaté que quand je sors : ‘Oh, on vient de commencer à regarder un film avec les parents, je ne peux pas les planter là’, ça met un terme aux invitations à tous les coups.
Un chien qui aboie ou un téléphone sans batterie feront aussi l’affaire
[...] Retrouvez cet article sur Courrier international
À lire aussi :
Justice. Divorcer par vidéoconférence, en Suisse c’est désormais possible
Quotidien. Visioconférence et télétravail : en confinement, on voit ses collègues autrement
Quotidien. Apéros virtuels et chansons au balcon : en confinement, on réinvente nos rituels
Confinement. Poster sur Instagram, presque une “obligation morale” au temps du coronavirus