Avec la complicité de l'entreprise, elle fait sa demande en mariage dans une boîte de pâté Henaff

À jamais liés par une boîte de pâté. Un Breton a dit "oui" à sa compagne après que cette dernière a dissimulé sa demande en mariage dans une conserve du célèbre pâté Hénaff, le tout avec la complicité de l'entreprise bretonne qui raconte cette histoire sur son compte X.

Défi relevé par le fabricant de charcuterie

Tout a commencé le 7 mai dernier, quand le fabriquant de charcuterie a reçu une requête originale. "Mon conjoint, Breton, adore le pâté Hénaff, et je souhaite le demander en mariage d’ici peu […] Je me demandais donc si vous aviez la possibilité de sertir une boîte vide, avec juste ma demande", avait écrit la future mariée via le site internet de l'entreprise.

Le défi a été accepté par Hénaff, qui a bousculé les lignes de production de son usine de Pouldreuzic (Finistère) pour sceller la demande, rédigée sur un morceau de papier, dans une véritable boîte de pâté. "On a fait appel à la maintenance qui a ralenti la machine car la boîte était plus légère. On a aussi désactivé le jet de vapeur pour ne pas détruire la précieuse demande", explique à BFMTV Jildaz Colin, responsable consommateur et communautés.

La boîte, plus vraie que nature, a ensuité été envoyée à la future fiancée. Celle-ci avait prévu de l'offrir à son conjoint le lundi 20 mai, lors d’un week-end en amoureux. Mais comme leurs filles ont eu la varicelle, la demande a été retardée de quelques jours et c’est finalement ce mercredi 22 mai au soir que la boîte a été ouverte, relate Ouest-France.

"Pour rappel, c’est madame qui fait la demande à monsieur. Il sent le coup fourré parce qu’elle filme, et à cause de la légèreté de la boîte. L’ouverture du pâté Hénaff montre qu’on a affaire à un professionnel", explique avec humour le groupe Hénaff sur X, en partageant une vidéo de la scène.

L'entreprise n'en est pas à son coup d'essai. Il y a 18 ans déjà, "des mariés nous avaient demandé de mettre leurs deux bagues dans une boite de pâté Hénaff", se souvient Jildaz Colin.

Article original publié sur BFMTV.com