"Il colle son visage sur mon sexe" : dix actrices, dont Marie Gillain, épinglent les déviances du Ken Loach à la française

Un abus de pouvoir, purement et simplement. C’est ce que révèle Franceinfo dans une enquête publiée ce mardi 9 avril. Une dizaine de comédiennes y dénoncent les gestes inacceptables du réalisateur Philippe Lioret, notamment lors du casting de Toutes nos envies, qui a eu lieu à l’été 2010. A l’époque, le cinéaste était au sommet de sa gloire. Ses deux précédents longs-métrages - Je vais bien, ne t’en fais pas et Welcome - avaient été des succès tant critiques que commerciaux. "Philippe Lioret, c'était alors le Ken Loach à la française. Il avait une aura considérable", estime un distributeur auprès de nos confrères.   De quoi lui donner la liberté de se comporter n’importe comment ? Il semblait "dans un sentiment de tout-puissance et se croyait tout permis", reconnaît une directrice de casting. Et de renchérir : "Après le succès de Welcome, il a décidé de devenir son propre producteur. Il était seul aux commandes. Il n'y avait plus de regard extérieur, de contrepoids, de contre-pouvoir." C’est ainsi que sur le casting de son nouveau film, il s’est senti tout permis.

Cette "sensation de malaise" dénoncée par Marie Gillain

Si le rôle masculin est d'emblée attribué à Vincent Lindon, pléthore d'actrices célèbres sont auditionnées pour les personnages féminins : Judith Godrèche, Emma de Caunes, Mélanie Bernier, Cécile Cassel, Laetitia Casta, Virginie Efira ou encore Marie Gillain. Cette dernière garde (...)

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