Clément Massy (The Voice) éliminé en demi-finale : “Faire l’Eurovision comme Slimane, ce serait ouf !”

Télé 7 Jours : Tu as 25 ans. Depuis quand fais-tu de la musique ?

Clément Massy : J’ai commencé le piano à 5 ans, pour faire comme mon grand frère. Quand j’avais 13 ans, je me suis mis à la guitare électrique en autodidacte et je me suis rendu compte que j’étais capable de chanter. Quand j’ai repris le piano, j’ai compris que la musique était plus qu’un passe-temps. The Voice m’a repéré grâce à une reprise de November Ultra que j’ai postée sur TikTok.

Comment as-tu vécu l’audition à l’aveugle ?

C’était terrifiant ! J’avais conscience que ça allait me faire peur, mais que j’en avais besoin pour devenir l’artiste que j’ai envie d’être. Je comptais me battre jusqu’au bout. À la fin de ma prestation, je me suis dit que c’était fini, je commençais à être triste. J’avais l’impression que ça avait duré des heures. Donc quand Zazie s’est retournée, ça m’a fait un grand bien. J’étais soulagé. C’était une page qui se tournait. D'ailleurs, au début des battles, on a vu que j’avais peur de tourner cette page pour devenir un chanteur et un musicien. Mais au milieu de la battle, on a vu que j’ai accepté de lâcher prise. Je pense que c’est pour ça que j’ai été repêché par Mika.

C’est pour ça que tu as autant progressé au cours de la saison aussi ?
Oui ! J’ai arrêté de me mettre des bâtons dans les roues. C’était pas évident. Ça n’a pas été un démarrage facile. C’était mes premières scènes, j’avais hyper peur. Pour moi, The Voice a été un gros travail introspectif, une croissance. J’ai appris à me faire confiance et suivre mon instinct. Le coaching avec Zazie était génial, j’ai adoré. C’était très drôle. Elle a tout de suite compris que j’avais tendance à cacher ce que j’avais à l’intérieur de moi. C’était formidable, c’est des moments qui sont gravés en moi.

Qu'as-tu pensé au moment où tu as été repêché ?

J’étais extrêmement triste de prendre la place d’une de mes coéquipières, Ambre Ever. Et à la fois, c’est le même sentiment que lorsqu’un coach se retourne au dernier moment à l’audition à l’aveugle, mais multiplié par 1000 ! Avec Morpho, on était devenus potes, et continuer tous les deux étaient la meilleure chose qui pouvait nous arriver. C’était un scénario de rêve. En plus, je ...

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