Les cinq “pharaonnes” qui ont régné sur l'Égypte antique
Ecrite en grande partie par des hommes, l’histoire passe sous silence les grandes figures féminines qui la composent. L’Egypte antique n’est, à ce titre, pas épargnée. D’ailleurs, le terme pharaon ne se conjugue pas au féminin. Si l’on retient souvent de cette période les grands pharaons Khéops, Ramsès II, Akhénaton, ou encore Toutânkhamon, il est plus difficile de citer le nom de leurs homologues féminines, hormis celui de Cléopâtre. Pourtant, pour les anciens Égyptiens, la femme est considérée comme l'égale de l'homme. Un statut unique dans le monde antique, surtout au regard de leurs voisines grecques et romaines, et hérité des croyances religieuses, qui mettent sur un même pied d’égalité dieux et déesses.
Au cours des trois mille ans de civilisation égyptienne, plusieurs centaines de femmes ont exercé leur pouvoir. Si la plupart sont tombées dans l’oubli, cinq d’entre elles ont eu un parcours particulièrement marquant. A commencer par Néférousobek, la première femme pharaon, dont le nom fait référence à Sobek, le dieu crocodile. Elle est donc surnommée la “reine crocodile” et règne durant la XII dynastie, vers 1800 avant JC. Quant à Hatchepsout, cinquième souveraine de la XVIIIe dynastie, elle s’empare du pouvoir à seulement 22 ans, après plusieurs décès dans son entourage et s’attribue la place qui lui est dûe, tout en s’habillant comme un homme, selon le rituel égyptien, contrairement à ses prédécesseuse, Néférousobek, qui conserva semble-t-il son apparence féminine. Selon (...)
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