Chirurgie : comment prévenir le choc opératoire et atténuer les douleurs ?

Choc opératoire : on fait appel à l'homéopathie

Une opération, même bénigne, impacte toujours l'organisme. Mais dans certains cas, elle peut avoir une incidence plus importante, comme l'explique le Dr Jean-Claude Karp, médecin généraliste et spécialiste de l'homéopathie : « Le traumatisme physique, les saignements, la douleur ou même les traitements eux-mêmes peuvent favoriser un phénomène de choc opératoire. L'intervention ne va alors pas seulement avoir une incidence sur les tissus, mais aussi des répercussions plus larges sur l'organisme à cause de l'atteinte du système nerveux central. »

Le choc opératoire est en effet un phénomène de sidération du système nerveux qui peut à son tour favoriser une chute de la tension artérielle, une baisse de la température centrale, voire d'éventuelles complications plus graves.

Par ailleurs, certaines complications ou suites opératoires peuvent avoir une prévalence plus importante selon la nature de l'intervention, comme le rappelle le Dr Karp : « On sait que certaines interventions en chirurgie cérébrale, pour soigner un gliome par exemple, peuvent donner lieu à des œdèmes cérébraux.

En chirurgie digestive, ce sont les blocages réflexes intestinaux qui sont fréquents. » Et de souligner que, dans tous ces cas, une prescription homéopathique préopératoire peut être indiquée.

Homéopathie : quelle prise en charge ?

Pour prévenir les effets d'un choc opératoire, (...)

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