Chercheuse, chercheur, êtes-vous « techno-vulnérable » ?

Cela comprend les étudiants, les collaborateurs, les personnes à qui des projets de recherche sont présentés, les responsables des institutions, les membres de comités d'éthique, etc. Il faut noter ici que bien des étudiants à la maîtrise ou au doctorat se plaignent de ce que leurs travaux sont repris à leur insu par leur directeur de recherche ; ce phénomène n'est pas nouveau. Il ne faut pas oublier que les actions dolosives sont souvent très bien camouflées, que les acteurs en jeu jouissent parfois du support logistique et financier de puissantes firmes d'avocats ou même de gouvernements (par exemple, dans le cas d'espionnage industriel), et qu'ils ont recours dans des cas extrêmes à des t...